Dieu a un Plan
A la vue de tout le savoir scientifique manifesté partout dans le monde, nous pourrions facilement nous dire que l’homme est capable d’accomplir presque tout et n’importe quoi. Mais, nous sommes rapidement désillusionnés lorsque nous nous rappelons que tout en ayant fait des avancées scientifiques remarquables, notre génération a aussi mis au point des éléments capables de se détruire elle-même. Pour anticiper la possibilité d’une telle éventualité, rien que les Etats-Unis dépensent des centaines de milliards de dollars par an à des fins de défense et les autres nations font de même.
L’égoïsme humain est à la base de beaucoup de problèmes et la science ne peut pas éliminer l’égoïsme. Ainsi, lorsque nous constatons que l’homme peut communiquer de plus en plus rapidement, que la science ne cesse de se perfectionner ; notre enthousiasme est voilé par la crainte que nos villes, nos pays, nos civilisations et toute la race humaine, pourraient disparaître avant que n’arrivent d’heureux lendemains.
Apparition de l’égoïsme
La désobéissance dans le jardin d’Eden
En rapport avec le plan de Dieu, nous considérerons cinq illustrations dont trois concernent des faits rapportés dans la Bible et deux autres des prophéties relatives aux promesses faites par Dieu. La première de ces illustrations sera aisément reconnue : c’est l’épisode de la tentation dans le jardin d’Eden. Le « serpent », mentionné dans la Bible et qui symbolise Satan, tente Eve pour la pousser à désobéir à son Créateur en mangeant le fruit défendu. Nous connaissons tous les conséquences de cette action. Eve mangea du fruit défendu et Adam fit de même. Le résultat fut, comme cela avait été annoncé par Dieu, une sentence de mort et le bannissement du jardin d’Eden.
Cependant, ce qui a précédé la tentation est important à noter. Lorsque Dieu créa nos premiers parents, il leur dit de se multiplier et remplir la terre pour la soumettre. Le gouvernement de la terre fut donné à l’homme mais l’homme ne devait pas manger du fruit défendu sous peine de mourir. En effet, Dieu avait dit : « Tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance de ce qui est bon ou mauvais, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » (Genèse 2 : 17).
Dans le commandement de se multiplier, de remplir la terre et de l’assujettir, nous trouvons la révélation du but de la Création. L’homme n’avait pas été créé pour vivre sur terre temporairement et pour, plus tard, être emmené aux Cieux ou relégué au purgatoire ou en enfer. En péchant, l’homme n’a pas perdu une habitation dans les Cieux mais le privilège d’avoir une demeure sur terre.
Satan, par l’entremise du serpent, dit à Eve qu’elle ne mourrait pas si elle mangeait du fruit dont Dieu avait ordonné de ne pas manger. (Genèse 3 : 4) De ce mensonge, se sont développées à travers les âges, des théories niant la réalité de la mort. Ainsi, selon ces théories, la mort n’est pas ce qu’elle semble mais c’est un passage pour accéder à une autre vie. Néanmoins, la mort est bien une réalité « car le salaire du péché, c’est la mort. » (Romains 6 :23) Le règne du péché a été et continue d’être, très cruel. Seul le plan de Dieu nous offre la possibilité de nous en libérer.
La promesse de Dieu faite à Abraham
Abraham offre Isaac
Avec notre seconde illustration, nous allons considérer la merveilleuse promesse que Dieu fit à Abraham. Dieu dit au fidèle patriarche : « Je bénirai ceux qui te béniront, mais je maudirai ceux qui te maudiront. A travers toi, je bénirai toutes les nations de la terre. » (Genèse 12 : 3). La race humaine avait, alors, été soumise à la mort depuis environ deux mille ans. La promesse de Dieu constituait donc un rayon d’espoir.
Plus tard, alors qu’Isaac, le fils d’Abraham avait grandi, Dieu demanda à Abraham de l’offrir en sacrifice. L’obéissance d’Abraham est représentée dans notre seconde illustration. Dieu, cependant, ne laissa pas Abraham sacrifier son fils mais, à la place d’Isaac, il lui fournit un bélier. Ceci représente le fait qu’avant que toutes les familles de la terre puissent être bénies par Abraham, le Père aimant devait offrir son Fils bien-aimé en sacrifice.
Au fur et à mesure que le plan de Dieu se révèle à nous, nous comprenons que c’est le Père Eternel qui, de lui-même, a offert son unique Fils engendré pour être le Rédempteur et le Sauveur du monde. (Jean 3 :16) Dieu fut tellement satisfait de la bonne volonté d’Abraham de coopérer avec lui qu’Il confirma sa promesse originelle par un serment. (Genèse 22 : 16 à 18; Hébreux 6 : 13 à 20)
Jésus, la « descendance » promise
Dans le Nouveau Testament, nous apprenons que la descendance promise à Abraham qui devait bénir toutes les familles de la terre est, en fait, Christ. En effet, l’apôtre Paul écrivit : « Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa descendance. Il n’est pas dit : et aux descendances, comme s’il s’agissait de beaucoup ; mais il s’agit d’une seule : et à ta descendance, qui est le Christ. » (Galates 3 : 16).
Dans le magnifique plan de Dieu pour bénir toutes les familles de la terre, Jésus est le canal désigné par lequel toutes les promesses de bénédictions seront répandues sur tous les hommes, y compris ceux qui étaient morts et qui auront été rendus à la vie. En effet, la mort étant intervenue à cause du péché, c’est grâce au sacrifice de Jésus que les hommes pourront revivre.
Aussi, Jean le Baptiste dit, concernant Jésus : « Voici l’agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde.» (Jean 1 : 29). Dans le livre d’Esaïe, nous lisons également, à propos de Jésus, qu’il était : « semblable au mouton qu’on mène à l’abattoir » et que Dieu a fait de lui : « un sacrifice de réparation » (Esaïe 53 : 7,10). L’apôtre Paul dit aussi que Jésus « s’est donné lui-même en rançon pour tous : c’est le témoignage rendu en son temps. » (I Timothée 2 : 3 à 6)
Ce grand travail de rachat de l’humanité s’est accompli au Calvaire. Le concept de la rédemption est expliqué par l’apôtre Paul lorsqu’il dit : « Car, puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. En effet, comme tous meurent en Adam, de même aussi tous seront rendus vivants dans le Christ. » (I Corinthiens 15 : 21,22)
Nous voyons ainsi l’importance de la mort de Jésus dans le plan de Dieu pour bénir toutes les familles de la terre. Les bénédictions promises seront révélées après la résurrection des hommes. La mort de Jésus et sa résurrection garantissent le retour à la vie des humains sur terre où ils recevront des bénédictions. (Actes 17 : 30,31).
Un autre aspect important
la Crucifixion
Si nous n’avions pas de plus amples informations concernant le plan de bénédictions de Dieu, nous penserions, naturellement, que le travail de bénédictions aurait dû commencer juste après la mort et la résurrection de Jésus. Nous savons que cela n’a pas été le cas. Les hommes ont continué et continuent de souffrir et de mourir autant qu’avant la venue de Jésus. Nous trouvons, dans la Bible, l’explication de ce fait. La raison en est que Dieu a prévu de constituer un « petit troupeau » de fidèles disciples du Maître, sélectionnés parmi tous les humains et qui, lorsque le temps de bénédictions sera venu, seront associés à Jésus dans le travail d’instauration de la paix et de dispense de santé et de vie aux hommes.
Dans l’épitre aux Galates 3 : 27 à 29, nous comprenons que les vrais chrétiens sont constitués de ceux qui sont baptisés en Christ et qu’ils font partie de « la descendance promise, héritiers selon la promesse ». Le travail de sélection de cette classe a commencé il y a presque vingt siècles et se poursuit encore.
A ces fidèles, Jésus a promis de leur préparer une place dans les cieux et, à son retour, de les prendre auprès de lui afin qu’ils puissent régner avec lui. (Jean 14 : 2,3). Jésus dit également à ces mêmes fidèles : « N’aie pas peur, petit troupeau ; car il a plu à votre Père de vous donner le Royaume. » (Luc : 12 : 32).
L’espoir du Royaume
Une longue chaîne de promesses, que l’on trouve dans l’Ancien Testament et qui se poursuit dans le Nouveau Testament, nous révèle que Dieu va établir un gouvernement mondial et que ses promesses de bénédictions s’étendront à tous les peuples. Dans l’une des promesses concernant la naissance de Jésus, nous lisons d’ailleurs que Jésus va : « Etendre la souveraineté, accorder une paix sans fin. » (Esaïe 9 : 6).
Nous remarquons, dans les Ecritures, que si Jésus est venu sur terre pour souffrir et mourir pour l’humanité, il revient pour mettre en place son Royaume et bénir les hommes. Durant ce temps de la seconde présence de Jésus, en tant que puissant souverain ou « Roi des Rois », le monde connaîtra enfin le vrai Dieu et une occasion lui sera donnée d’obéir aux lois divines et de vivre à jamais. (Apocalypse 19 : 16).
En constatant l’accomplissement, de nos jours, des prophéties bibliques, nous avons toute raison de croire que nous sommes très proches de ce temps messianique béni. Le prophète Daniel parle de ce temps comme « le temps de la fin » et indique qu’à ce moment, la connaissance augmenterait. (Daniel 12 :4).
L’expression « temps de la fin » ne signifie pas la fin de tout. Cette expression ne se rapporte pas non plus à la croyance commune de consumation de la terre. En fait, il s’agit de la fin du règne du péché et de la mort. C’est le moment où Dieu interviendra dans les affaires des hommes grâce à l’établissement de son royaume. Tous les maux, tels que les guerres, la famine, les maladies et la mort seront éradiqués.
La Terre subsistera toujours
En ce qui concerne la terre, nous trouvons dans la Bible, l’affirmation claire que la terre ne sera pas détruite mais qu’elle subsistera toujours. (Ecclésiaste 1: 4). Le Seigneur certifie qu’il n’a pas créé la terre en vain mais qu’il l’a formée pour être habitée. (Esaïe 45:18). Comme nous l’avons vu, le plan de Dieu est de faire que l’homme vive à jamais sur terre. C’est, en effet, la demeure de l’homme. La race humaine ne sera pas effacée mais rendue à la vie lors de la résurrection.
Quand la question du moment de son retour fut posée à Jésus, le Maître répondit : « Alors il y aura une grande détresse, telle qu’il n’y en a pas eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et qu’il n’y en aura jamais plus » et que : « Si ces jours-là n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé, mais à cause de ceux qui ont été choisis ces jours-là seront abrégés. »(Matthieu 24 : 21,22). De nos jours, nous pouvons relever la présence de la situation dont parlait Jésus mais nous savons aussi que le temps de détresse sera écourté afin que tous les hommes ne périssent pas.
Notre temps dans les prophéties
Daniel voit notre temps
L’essentiel du développement de notre monde moderne a été prédit dans les prophéties de la Bible. Nous pouvons, par exemple, mettre en relief l’accroissement de la connaissance annoncé par le prohète Daniel. Notre illustration représente bien ce fait.
La plupart des éléments représentés dans l’illustration n’existaient pas avant le vingtième siècle. Le développement des technologies s’est accéléré brutalement de nos jours. Ceci correspond à l’accomplissement de la prophétie concernant l’approche du Royaume de Christ.
Le prophète Daniel a aussi prédit que le « temps de la fin » serait un « temps un temps de détresse tel qu’il n’y en a pas eu depuis qu’il existe une nation. » (Daniel 12 :1). La « grande détresse » dont parle Daniel est la même que celle à laquelle Jésus fait référence en Matthieu 24 : 21,22. Jésus dit aussi que durant ce temps il y aurait : « une angoisse des nations qui ne sauront que faire au bruit de la mer et des flots » et que « les humains rendront l’âme de terreur dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre habitée » (Luc 21 : 25,26).
Nous pouvons reconnaître, dans ce qui précède, une frappante description de ce qui arrive de nos jours. Toutes les nations sont dans la détresse et la peur de ce qui pourrait arriver monte au cœur des hommes. Nous ne trouvons pas, dans la Bible, des précisions concernant les destructions qui surviendront sur la terre avant que l’autorité instaurée du Royaume de Christ, ne sauve les humains de leur propre folie.
Cependant, dans la Bible, nous trouvons l’indication claire que l’égoïsme humain et toutes ses conséquences, comme l’exploitation de l’homme par l’homme, seront détruits. Notre dernière illustration représente les hommes qui recherchent les bénédictions de Dieu ; qui ont tourné le dos à ce qui reste des égoïstes institutions humaines et qui ont le regard tourné vers l’âge à venir.
La cité de Dieu
Dans l’illustration, nous voyons, au loin, la forme d’une ville : la cité sainte de Dieu. Ceci, bien sûr, est symbolique. Dans la Bible, une ville représente un gouvernement. Ainsi, par exemple, nous pouvons parler de « Washington » pour faire référence au gouvernement américain. Il en est de même dans la Bible et particulièrement dans le livre de l’Apocalypse où nous lisons qu’ « une ville sainte » descend des cieux, d’auprès de Dieu. Cette ville représente le nouveau gouvernement de Dieu dont la tête sera le Christ Jésus. (Apocalypse 21 : 1 à 5).
En effet, Jésus avait dit à Pilate : « Ma royauté n’est pas de ce monde. » (Jean 18 :36). Le Royaume de Jésus n’est donc pas d’origine humaine mais vient de Dieu. Ce royaume n’est pas institué par la sagesse et la puissance de l’être humain déchu. Il s’agit d’un gouvernement divin et ses lois sont des lois divines. En obéissant à ces lois, les humains seront bénis et ceci correspond à l’accomplissement de la promesse que Dieu avait faite à Abraham de bénir toutes les familles de la terre par sa « descendance ».
L’eau de la Vie
Un nouvel age paraît
Les bénédictions contiendront celle de la destruction de la maladie et de la mort. Nous trouvons la description de la situation qui prévaudra, à ce moment-là, dans le livre de l’Apocalypse où nous lisons, concernant les humains, que Dieu : « essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. » (Apocalypse 21 : 4).
Dans une autre promesse concernant le royaume et ses bénédictions, nous pouvons remarquer que le royaume est représenté par « le trône de Dieu et de l’Agneau » duquel sort un fleuve d’eau de la vie. (Apocalypse 22 : 1). Sur les deux bords du fleuve, il y a un arbre de vie produisant douze récoltes et donnant son fruit chaque mois. Les feuilles de l’arbre sont pour la guérison des nations. (Apocalypse 22 :2). En vérité, les hommes de toutes les nations ont grand besoin d’être guéris !
Cette magnifique bénédiction sera bientôt répandue sur toute l’humanité. Ainsi, alors qu’Adam et Eve ont été chassés du jardin d’Eden pour qu’ils ne puissent plus se nourrir de l’arbre de vie, les humains, durant le Royaume, auront de nouveau accès à l’arbre et à l’eau de la vie et ceci grâce au sacrifice de Jésus qui est mort pour racheter l’humanité. (Apocalypse 22 : 17).
Les morts rendus à la vie
Comme nous l’avons déjà brièvement indiqué, les bénédictions ne seront pas uniquement accordées aux humains qui vivront au moment de l’établissement du Royaume de Christ. En effet, Dieu a promis que, durant le règne de Christ, tous les humains qui se seront endormis dans la mort, reviendront à la vie et que l’occasion de profiter des bénédictions de Dieu leur sera accordée. Si cela n’était pas, le plan de salut de Dieu pour l’humanité serait loin de manifester l’amour de Dieu pour ses créatures.
L’espoir de la résurrection des morts se trouve dans la mort de Jésus. (I Corinthiens 15 : 21,22). Durant son ministère sur terre, Jésus a donné de nombreuses preuves du pouvoir divin de rendre les hommes à la vie. L’une de ces preuves est la résurrection de Lazare. (Jean 11 : 1 à 44).
Lazare était le frère de Marthe et de Marie. La famille vivait à Béthanie. Lazare tomba malade alors que Jésus était en Galilée ; une région éloignée de Béthanie. Les sœurs envoyèrent un émissaire dire à Jésus que leur frère était malade, espérant probablement que Jésus se rendrait rapidement à Béthanie. Mais, Jésus attendit deux jours et dit ensuite à ses disciples : « Lazare, notre ami, s’est endormi, mais je vais le réveiller de son sommeil. » Les disciples crurent que Jésus parlait du sommeil naturel de l’homme et dirent à Jésus : « Seigneur, s’il s’est endormi, il est sauvé ! » Les disciples pensaient que le fait que Lazare dorme prouvait qu’il allait mieux.
Le sommeil de la mort
Jésus dit donc clairement à ses disciples ce qu’il voulait dire et leur répliqua : « Lazare est mort. » A travers cette brève conversation, nous trouvons l’une des vérités bibliques fondamentales qui est que les morts ne sont ni vivants ni en enfer ni au purgatoire mais qu’ils sont dans un état d’inconscience. La puissance divine exercée par le Christ réveillera les hommes endormis dans la mort.
La mort, qui est entrée dans le monde à cause de la transgression d’Adam, aurait été permanente si l’amour de Dieu n’avait offert un Rédempteur. (Jean 3 : 16). Grâce à Jésus, qui a pris la place d’Adam dans la mort ; et a donc racheté en lui toute la race humaine ; la destruction éternelle a été changée en sommeil duquel nous avons l’assurance qu’il y a un réveil. A travers Lazare, nous avons la démonstration de ce que fera la puissance divine.
Tous seront réveillés
En une autre occasion, Jésus dit également, concernant la résurrection : « Ne vous en étonnez pas, car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux entendront sa voix et sortiront, ceux qui auront fait le bien pour une résurrection de vie, ceux qui auront pratiqué le mal pour une résurrection de jugement. » (Jean 5 : 28,29). Jésus indique donc que ceux qui dans cet âge ont « fait le bien », selon les principes de Dieu, seront réveillés de la mort et recevront immédiatement la récompense de la vie éternelle alors que ceux qui ont « pratiqué la mal », connaîtront une résurrection de jugement.
Le terme grec « krisis », traduit par « jugement », a le sens de « crise ». L’humain incroyant qui traversera une « crise » passera donc par des tests de discipline destinés à lui enseigner les voies du Seigneur. Si la « crise » est traversée avec succès, et que les humains apprennent à obéir aux lois du Royaume, ils pourront jouir gratuitement de l’eau de la vie et vivre à jamais. (Apocalypse 22 : 17).