Son empire et la paix

« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule… Donner à l’empire de l’accroissement, Et une paix sans fin » (Esaïe 9:6,7)

Nous pouvons sûrement vérifier, à partir de la récapitulation des principaux événements de l’année, que tout espoir d’un monde plus pacifique, plus sûr et plus heureux en 2018 a été déçu depuis longtemps. La tendance concernant la capacité de l’homme à bien se gouverner lui-même continue à décliner. C’est vrai à la fois parmi les dirigeants des nations et aussi parmi le peuple. A tous les niveaux et dans toutes les facettes des institutions actuelles politiques, sociales, économiques et religieuses, -les conditions actuelles du monde se traduisent par un tumulte croissant, de l’instabilité et de la morosité parmi les habitants de la terre.

Dieu merci, cependant, cela ne sera pas vrai des conditions du monde lorsque Jésus sera le Juge souverain, le « Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs » (Apocalypse 19:16).

Comme c’est opportun à ce moment de l’année, et dans les conditions du monde actuel telles qu’elles sont, de rappeler l’assurance bénie des promesses de Dieu centrées sur Jésus, dont une grande partie du monde célébrera la naissance le 25 décembre.

Donner à l’empire de Christ de l’accroissement

Sous l’égide de Christ, « L’accroissement de l’empire » signifiera également une manifestation proportionnelle de paix et de bonne volonté. Ce sera un changement monumental pour l’humanité. Jamais dans l’histoire de l’homme l’influence croissante d’un gouvernement n’aura apporté l’assurance d’une paix durable. Si les rois d’Israël avaient été obéissants aux lois de Dieu, ce royaume aurait été une exception, mais ils n’ont pas été obéissants.

Quand nous comparons le meilleur au pire, il y a eu quelques nobles dirigeants qui ont cherché les meilleurs intérêts du peuple sur lequel ils ont régné. Même ceux-ci, cependant, ont manifesté un certain égoïsme, et ont manqué de la sagesse nécessaire pour qu’il leur soit confié en toute sécurité une influence illimitée dans les affaires du monde.

Aujourd’hui, un monde divisé, troublé et craintif témoigne de l’échec de tous les efforts humains pour gouverner correctement les nations. Le désespoir du peuple qui résulte de cet échec hante l’espèce humaine et est comme un fléau qui prive l’humanité d’une paix et d’une joie authentiques. Face à cette extrémité désastreuse, les peuples continuent à se tourner dans tous les sens pour trouver une issue à leur dilemme. La grande majorité, cependant, ne réalise pas encore qu’il n’y a qu’une seule issue, qui est la voie de Dieu, la voie de son royaume, dans lequel Jésus sera le Roi.

Quelle signification doit avoir le message de Noël cette année pour ceux qui peuvent saisir son véritable sens et avoir foi en tout ce que cela implique ? Cela devrait signifier beaucoup plus que simplement chanter de beaux chants de Noël ou installer des décorations attrayantes ou échanger de simples cadeaux. Ceux-ci, tout au plus, devraient être des rappels du plus grand événement que nous commémorons par ces moyens.

C’était le don de Dieu au monde, le don d’un Sauveur, d’un Rédempteur et d’un Roi qui gouvernera bientôt toutes les nations, en effet, le « don ineffable » de Dieu (2 Corinthiens 9:15). A aucun moment cette connaissance n’a été aussi importante, comme une base pour l’espoir dans le cœur et la vie des désespérés. A aucun moment, il n’y a eu une plus grande opportunité de la part de ceux qui comprennent le sens réel de la naissance de Jésus pour annoncer le message glorieux de son royaume qui sera bientôt manifesté pour la bénédiction de toutes les nations et la solution de tous les problèmes d’un monde mourant (Genèse 22:18 ; Psaume 22:27 ; Actes 3:25).

Témoignage scripturaire

« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné », a écrit le prophète (Esaïe 9:6). C’est l’une des nombreuses prophéties concernant la naissance de Jésus, celui qui est glorieux comme l’a annoncé l’ange. Nous rappelons ces paroles capitales : « Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie : c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur » (Luc 2:10,11). En effet, l’enfant promis est né, le fils annoncé a été donné, et, en tant que Christ promis ou Messie, il devait être le Sauveur du monde.

Puis, pour souligner l’importance de l’événement et expliquer davantage sa signification, « une multitude de l’armée céleste, louant Dieu et disant : Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée ! » fut entendue (Luc 2:13,14). Presque aucun passage dans la Bible n’est plus familier que celui-ci. Cette année encore il sera répété par des millions de personnes.

Au cours des siècles, cependant, et plus encore que jamais, il a semblé simplement être l’expression du vœu pieux de l’humanité. Il sert d’inspiration pour quelques jours, mais il est vite oublié pour une année encore car le monde continue sur sa trajectoire descendante.

En lisant la prophétie concernant la naissance de Jésus, le Fils que Dieu devait donner, beaucoup n’ont pas remarqué l’assurance prophétique que « la domination reposera sur son épaule ». Le royaume mondial de la paix et de la vie qui est garanti par la puissance divine sera une réalité bénie au temps préétabli par Dieu et agira par l’autorité de son Fils, Jésus-Christ. En revanche, pendant de nombreux siècles, l’opinion de la plupart a été que le monde doit créer par des efforts humains son propre royaume de paix. Seuls ceux qui ont vu la chose telle qu’elle est exposée dans les Ecritures, et qui ont pleinement fait confiance aux promesses de Dieu, peuvent être vraiment bénis par le message de Noël.

Pour s’assurer que nous comprenons la pensée que la domination du royaume reposera sur l’épaule du Christ, et non sur celle de l’homme, le prophète ajoute : « Voilà ce que fera le zèle de l’Eternel des armées » (Ésaïe 9:7). Ce que fera le zèle de l’Eternel des armées, se réfère à ces choses dont le prophète a parlé dans ses précédents écrits.

Notons ce que dit la prophétie. D’abord, il y a la promesse de l’enfant, le fils, qui naîtrait et sur l’épaule de qui reposerait la responsabilité du gouvernement du nouveau monde. Jésus était cet enfant. Sa naissance n’était pas par la volonté de l’homme, car l’accomplissement de cette partie de la prophétie a été assuré par la direction et la puissance de Dieu. Quand les anges ont chanté la paix sur la terre et la bonne volonté envers les hommes, ils voulaient dire que par celui-ci et par le royaume dans lequel il régnerait en temps voulu, Dieu apporterait la paix aux nations. Ils voulaient dire aussi que sa naissance était une expression de la bonne volonté de Dieu envers les hommes, et non pas que les hommes allaient soudainement et de leur propre gré commencer à faire preuve de bonne volonté les uns envers les autres.

« Amirable, Conseiller, Dieu puissant »

« On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix » (Ésaïe 9:6). Tous ces titres sont attribués à Jésus par Dieu et indiquent les différentes façons dont « l’accroissement qu’il va donner à son empire » se manifestera pour la bénédiction du peuple. Le titre de « conseiller », par exemple, décrit bien son rôle de « médiateur entre Dieu et les hommes » (1 Timothée 2:5). L’une des causes fondamentales de toute souffrance, mort et problèmes sur terre est le fait que la race humaine est séparée de Dieu par rébellion contre sa loi. L’une des fonctions du règne du Christ sera d’amener la réconciliation entre Dieu et les hommes. La paix avec Dieu est un préalable nécessaire à la paix entre les hommes. Tant que les hommes sont hostiles à Dieu et désobéissants à sa loi, ils seront ennemis l’un de l’autre.

Le premier pas vers la réconciliation du monde par Jésus fut le sacrifice de sa vie en tant que Rédempteur de l’homme. Cet acte exceptionnel d’amour pour les sujets sur lesquels il devait plus tard être souverain est l’une des choses qui lui permet d’être appelé « Admirable ». Les dirigeants de ce monde sont considérés comme admirables si, par leur capacité de leaders, ils peuvent induire leurs sujets à mourir pour eux et pour la cause qu’ils représentent. Jésus, cependant, a inversé cette procédure. Le fondement de sa grandeur, et de sa domination mondiale, a été posé par son propre sacrifice, le don de sa propre vie pour que ses sujets puissent vivre.

Il n’est donc pas étonnant que Jésus mérite le titre de : « Dieu puissant ». Cela ne signifie pas qu’il est le Dieu Tout-Puissant, le Père céleste et le Créateur. Cela signifie simplement que Jéhovah l’a élevé à un si haut rang dans la réalisation du plan divin pour la réconciliation et le salut de la race humaine qu’il doit être reconnu comme Dieu, un puissant à qui l’honneur doit être accordé. Nous, ses disciples du présent Age de l’Evangile, nous sommes invités à honorer le Fils comme nous honorons le Père (Jean 5:23).

Pendant le règne de Christ dans son royaume, l’humanité est prophétiquement représentée comme disant de ce puissant, ce conseiller divinement pourvu : « Voici, c’est notre Dieu, en qui nous avons confiance, Et c’est lui qui nous sauve » (Ésaïe 25:9).

La pensée semble être que les peuples reconnaîtront Jésus comme le « Dieu puissant » à travers la mort duquel ils sont réconciliés avec Jéhovah et sauvés des griffes du péché et de la mort.

« Père Eternel »

La pensée du salut de la mort est encore accentuée par le titre : « Père éternel ». Le Christ Jésus est celui qui donnera la vie éternelle au peuple. Le mot « Père » signifie celui qui donne la vie. Aucun autre dirigeant sur la terre n’a même essayé de donner la vie à ses concitoyens. Cependant, comme la paix durable et la joie de l’humanité sont essentiels ! Nous pourrions imaginer un monde jouissant de toutes les bénédictions de paix et de sécurité que les gouvernements humains ont tant promises, mais ce serait toujours un monde malade du péché et de la mort. Cependant, « l’accroissement » de l’influence de Christ parmi les nations sera si répandue et complète que même le grand ennemi, la Mort, s’écroulera devant lui dans la défaite et la destruction.

« Car il faut qu’il règne », écrit Paul, « jusqu’à ce qu’il ait mis tous les ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c’est la mort » (1 Corinthiens 15:25,26). Pensez à ce que cela signifiera pour une race mourante ! La destruction de la mort, alors qu’elle se manifestera d’abord par le rétablissement de la santé des vivants, ne s’arrêtera pas là. Toutes les victimes de ce grand ennemi - les milliards qui ont été détruits dans tous les âges du passé - doivent être réveillées du sommeil de la mort. Ainsi, eux aussi prendront leur place dans l’arrangement du royaume, et auront l’opportunité de gagner la vie éternelle par l’obéissance aux lois justes et droites de ce nouvel ordre.

Là encore, il nous est rappelé que la responsabilité de l’accomplissement de toutes les choses merveilleuses promises par la mise en place du royaume de Christ sera « sur ses épaules » et que c’est « le zèle de l’Eternel des armées qui l’accomplira ». Ces merveilleuses promesses de la Bible du point de vue de ce que les êtres humains pourraient être capables de faire, de nos pensées et de nos désirs ne seraient que de vaines imaginations.

Ce n’est pas le cas, cependant, lorsque nous prenons le point de vue de Dieu. La naissance de Jésus était un miracle. Pendant son bref ministère, il a démontré quels miracles de guérison et de résurrection des morts sont possibles quand le pouvoir divin est à l’œuvre. Il a été relevé de la mort par un miracle. Le « zèle de l’Eternel des armées » l’a accompli, et nous avons l’assurance bénie que la puissance divine sera également utilisée pour la restauration de tous les morts. Dans un monde où la mort est universelle, la promesse que le temps viendra où « la mort ne sera plus » est une bénédiction (Apocalypse 21: 4).

« Prince de la paix »

Le prophète décrit également Jésus comme « Prince de la Paix ». Nous avons déjà noté que dans son rôle de Médiateur, ou de Conseiller, Jésus établira la paix entre Dieu et les hommes. Cette paix sera basée sur l’obéissance aux lois divines de la droiture et de la justice. Tous ceux qui obéissent à Dieu seront en paix les uns avec les autres, car ils auront tous reconnu l’autorité suprême. Le prophète Michée nous dit que « les peuples y afflueront », reconnaissant l’autorité du royaume de Christ. En apprenant les voies du Seigneur, « De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes ; Et l’on n’apprendra plus la guerre » (Michée 4:1-3).

Quand cette prophétie s’accomplira, il y aura certainement « paix sur la terre », non parce que les hommes auront conçu une manière de vivre en paix les uns avec les autres, mais à cause de la bienveillance de Dieu envers les hommes par la providence d’un Prince de Paix pour leur enseigner les principes de justice et d’amour.

Cette paix sur terre établie par le Prince de la Paix sera plus que la paix entre les nations. Ce sera aussi la paix à l’intérieur des nations : la paix économique, symbolisée par l’expression : « Ils habiteront chaque homme, sous sa propre vigne et sous son propre figuier, sans personne pour les effrayer ».

Cela signifiera la paix dans chaque communauté et dans chaque foyer. Cela signifiera la paix du cœur et de l’esprit, paix qui ne sera jamais plus perturbée par la peur de la guerre, de la pauvreté, ou de la maladie, ou même de la mort. « Il ne se fera ni tort ni dommage », dit le prophète, dans tout ce royaume saint (Esaïe 11:9). Dans cette promesse, la raison attribuée aux conditions de paix, de tranquillité et de sécurité assurés par le règne de Christ est que « la terre sera remplie de la connaissance de l’Eternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent ».

Quand la terre est remplie de la connaissance de Dieu et que les peuples vivent en harmonie avec cette connaissance, ils jouiront de la paix entre eux et en eux-mêmes. Cette paix sera le fruit de leur paix avec Dieu, qu’ils auront trouvée à travers l’acceptation de l’œuvre rédemptrice du Christ. Sur cette base, et par l’obéissance aux normes divines de la justice, l’homme vivra dans la paix, la sécurité et le bonheur, et obtiendra la vie éternelle.

Sur le trône de David

Esaïe prophétise aussi que le règne du Prince de la Paix sera sur le « trône de David, …pour l’affermir et le soutenir » (Esaïe 9:7). Ceci est une réaffirmation de la promesse que le royaume messianique viendrait à travers la lignée de David, et que sa domination serait rétablie par Dieu à travers Christ.

Les rois d’Israël étaient reconnus par Dieu comme étant son représentant, et la nation d’Israël était son royaume. De Salomon, nous lisons qu’il « s’assit sur le trône de l’Eternel, comme roi à la place de David, son père » (1 Chroniques 29:23).

Cependant, cet arrangement a cessé quand le roi Sédécias a été renversé et que la nation a été amenée en captivité à Babylone. « La tiare sera ôtée, le diadème sera enlevé. Mais cela n’aura lieu qu’à la venue de celui à qui appartient le jugement et à qui je le remettrai » (Ézéchiel 21:26,27).

Jésus est celui auquel il est fait référence dans cette prophétie comme ayant le droit de rétablir le trône, ou royaume, qui avait été renversé à cette époque. De ce point de vue, sa domination sera sur le trône de David.

Depuis le moment où le royaume typique de Dieu a été renversé jusqu’à ce que Christ commence son règne sur les nations, la terre est sans gouvernement divinement établi. De ce point de vue, le rétablissement du trône de David par le Christ Jésus est la manière prophétique de nous assurer de l’autorité divine de gouverner qui lui est dévolue. Alors que le royaume du Christ sera beaucoup plus puissant et bien supérieur au royaume typique d’Israël, il sera à bien des égards semblable à celui-ci. Dieu était le législateur d’Israël, et si le peuple avait obéi à ces lois, et si leurs rois les avaient administrés correctement, ils auraient, en effet, été bénis.

Administration du Royaume

Les lois du royaume de Dieu seront aussi des lois divines, administrées par Jésus, le roi divin. Il se sera associé à ceux qui ont prouvé leur dignité de cette position élevée en souffrant et en mourant comme il a souffert et qu’il est mort. Ceci se produira « à la première résurrection… et ils régneront avec lui » (Apocalypse 20: 6).

Ainsi nous sommes assurés que tous les dirigeants dans le nouveau royaume seront des administrateurs justes de la loi de Dieu. Leurs représentants terrestres, décrits comme des « princes dans tout le pays », et « à la foi desquels il a été rendu témoignage », auront aussi été préalablement formés et préparés à leur position de responsabilité (Psaume 45:16, Hébreux 11:39). À leur résurrection d’entre les morts, ils seront capables d’administrer la phase visible du nouveau royaume avec sagesse et en harmonie avec les lois et les instructions justes qui seront données aux peuples par eux.

Le trône de David - symbole de la domination divine - sera établi, non pas temporairement, mais comme le dit le prophète, « Dès maintenant et à toujours » (Esaïe 9:7). La phase de médiation du royaume, administrée par le Christ, va se poursuivre pendant mille ans, assez longtemps pour rendre la vie à la race humaine et jusqu’à la pleine harmonie avec Dieu.

Au sens complet du mot, ce ne sera pas avant la fin du règne de Christ que la prière : « Que ton règne vienne; que ta volonté soit faite sur la terre » sera pleinement exaucée. Le gouvernement du Christ sera le moyen par lequel cette prière sera exaucée. Quand il aura achevé le travail de réconciliation du monde avec Dieu, le Christ, comme l’explique Paul, remettra le royaume au Père (1 Corinthiens 15:24-28). Alors le règne suprême et éternel de Dieu lui-même sera venu, sa volonté sera reconnue et on y obéira sur la terre comme dans les cieux.

Vraiment, le prophète avait raison en ce qui concerne ce qu’il a écrit au sujet de Jésus « Donner à l’empire de l’accroissement, Et une paix sans fin ». Elle n’aura pas de fin car elle ne manquera pas de retirer de la terre chaque élément d’injustice et tous les ennemis de Dieu et des hommes. Il étendra sa sphère d’influence jusqu’à ce que tout ce qui a troublé la paix, la sécurité et le bonheur du peuple et qui lui a volé des bénédictions de Dieu soit détruit.

C’est l’espoir béni qui peut être le nôtre maintenant, alors même que cette année particulièrement tumultueuse prend fin. En pleine confiance dans les promesses de la Parole de Dieu, commémorons une fois de plus la naissance du Prince de la Paix.

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