Affermir les frères

Lorsque Jésus et les douze étaient ensemble dans la chambre haute la nuit précédant la crucifixion, Jésus dit à Simon Pierre : « Simon, Simon, Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment. Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point ; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères » (Luc 22:31,32).

Pierre était l’un des premiers à avoir cru en Jésus. Il était convaincu que son Maître bien-aimé était le Messie annoncé dans les prophéties. C’est pourquoi, lorsque Jésus lui parla de sa future conversion, il ne voulait pas dire qu’il allait devenir croyant. Il faisait plutôt référence à un changement de point de vue qui allait prendre place chez Pierre, dans la compréhension du rôle important que le Maître allait tenir dans le plan divin, et de la position qui serait occupée par ses disciples.

L’opposition

Pierre était un rude pécheur, et il avait l’habitude de mener sa vie ainsi qu’il le voulait. Il lui paraissait normal que le grand Messie promis serait encore plus capable d’accomplir ce qu’il désirait.

La consternation remplit son cœur quand Jésus fit savoir qu’il allait partir pour Jérusalem où il allait être arrêté et mis à mort. Pour Pierre, cela dû être comme s’il se rendait à ses ennemis, aussi dit-il à son Maître : « A Dieu ne plaise, Seigneur ! Cela ne t’arrivera pas » (Matthieu 16:22).

Jésus répondit à Pierre : « Arrière de moi, Satan ! Tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes » (verset 23). Et s’adressant à ses disciples en général, Jésus ajouta : « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive » (versets 24,25).

Pour les disciples, ceci dû sembler être un point de vue étrange. Pierre avait conseillé à Jésus de ne pas mettre sa vie en danger, mais Jésus expliqua qu’en cela Pierre avait exprimé un point de vue humain.

Le point de vue humain généralement admis est que chacun doit protéger ses propres intérêts, et les intérêts de ceux qui lui sont proches et chers, à n’importe quel prix. L’idée de choisir délibérément une voie qui mène à la souffrance et à la mort est désapprouvée par ceux qui sont guidés par la sagesse de ce monde. Ce fut le cas avec Pierre. Il tenta non seulement de dissuader Jésus d’aller à Jérusalem où ses ennemis l’attendaient, mais il essaya même d’empêcher son arrestation, allant jusqu’à couper l’oreille du serviteur du souverain sacrificateur.

Pierre était dans la même disposition d’esprit la nuit où, dans la chambre haute, Jésus lui dit : « Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment » (Luc 22:31). Satan travaillait dur avec Pierre dans le but de l’arracher à son attachement au Maître. Il avait trouvé une légère différence de point de vue entre eux, et essayait d’exploiter cette différence. Mais Jésus assura Pierre de ses prières et lui dit : « …quand tu seras converti, affermis tes frères » (verset 32). Jésus avait confiance que Pierre pourrait traverser cette épreuve, et qu’il finirait par adopter le point de vue correct.

Eclairés

Ce n’est qu’à la Pentecôte que Pierre a été ‘converti’. Il a alors été éclairé par le saint esprit, et a compris la raison des souffrances et de la mort de Jésus. En effet, dans son discours de la Pentecôte, Pierre attira l’attention sur les prophéties annonçant la mort et la résurrection de Jésus.

S’il avait discerné la signification de ces prophéties quand il était avec Jésus, Pierre n’aurait pas tenté d’empêcher sa crucifixion. Mais il savait dorénavant, avec certitude, que son précédent point de vue erroné et les épreuves qui en avaient découlé étaient une préparation particulière lui permettant à présent d’apprécier la vérité sur le sujet plus clairement qu’il n’aurait jamais pu le faire auparavant.

De cette façon, Pierre était bien préparé à affermir les frères concernant les souffrances que doivent endurer les chrétiens, et la place qu’elles occupent dans l’ouvrage du plan divin. Ceci apparaît évident dans la première épître de Pierre, une épître que Pierre pourrait bien avoir écrit en se souvenant du conseil de son Maître d’affermir les frères.

Tous les membres du peuple du Seigneur ont besoin d’être affermis sur le chemin qu’ils ont choisi de suivre. Les souffrances ne sont pas agréables, et la chair s’efforcera de les éviter autant que possible, que ce soit une douleur physique ou morale due à la désapprobation de nos proches ou du monde en général.

Faire face aux souffrances et à la mort, alors que nous pourrions peut-être choisir une solution plus agréable, requiert foi et courage, un courage qui résulte de la conviction que nous faisons ce qui est apprécié par notre Père Céleste.

Affermir les frères

Comment Pierre affermit-il les frères ? Tout d’abord, il met l’accent sur le fait que nous ne recherchons pas des bénédictions terrestres, mais célestes. Ensuite, il nous rappelle que nous avons été régénérés « pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, pour un héritage qui ne se peut ni corrompre ni souiller, ni flétrir, lequel vous est réservé dans les cieux, à vous qui, par la puissance de Dieu, êtes gardés par la foi pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps ! » (1 Pierre 1:3-5).

C’est dans l’espoir de cet héritage que repose notre principale cause de nous réjouir, non pas dans les bonnes choses matérielles de la vie qui pourraient être les nôtres si nous mobilisions nos énergies pour nous les procurer.

C’est là « ce qui fait notre joie » car « l’épreuve de notre foi, plus précieuse que l’or périssable qui cependant est éprouvé par le feu, ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra » (1 Pierre 1:6,7). Pierre met l’accent sur le fait que les joies du chrétien sont basées non pas sur l’abondance des choses qu’il peut posséder dans sa vie, mais sur sa foi dans l’héritage céleste auquel il a été appelé – cet héritage qui inclura la joie d’être avec le Seigneur Jésus et le Père Céleste.

Notre rédemption et notre salut sont rendus possibles car Jésus — voulant faire la volonté de son Père, tel que c’est exposé dans l’ancien testament — a donné sa vie pour nous. Nous sommes « rachetés… par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1:18, 19). Jésus était, vraiment, « l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Jean 1:29).

Offrir en sacrifice

En 1 Pierre, chapitre 2, Pierre converti présente une autre manière de penser concernant le fait de suivre Jésus. Au verset 5, il explique que nous sommes « une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ ».

A l’époque de l’ancien testament, les prêtres d’Israël offraient des animaux en sacrifice ; mais il n’en est pas ainsi pour les souverains sacrificateurs de notre époque. Nous nous offrons nous-mêmes pour être consumés sur l’autel antitypique, où notre sacrifice est rendu acceptable au travers du sang de Christ. « Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre » (Hébreux 13:10-13). Il nous suffit de penser aux animaux qui étaient brûlés dans le type pour réaliser qu’en nous offrant nousmêmes il y aura des souffrances, et finalement la mort, souffrances dans lesquelles nous entrons volontairement.

Lorsque Pierre tenta d’empêcher la crucifixion de Jésus, il pensait à Jésus comme à un roi terrestre, non pas à un prêtre qui allait offrir un sacrifice – et certainement pas le sacrifice de lui-même. Il espérait être avec Jésus dans le royaume, pour partager son règne, mais il ne s’attendait pas à souffrir et à mourir afin d’obtenir cette haute position de gloire.

Mais, lorsqu’il a été éclairé par le saint esprit, il a alors eu une vision claire de cet aspect du plan divin. Il a pu dorénavant affermir les frères pour qu’ils soient capables d’endurer leurs souffrances.

Il écrit : « Car c’est une grâce que de supporter des afflictions par motif de conscience envers Dieu, quand on souffre injustement. En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes ? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c’est une grâce devant Dieu. Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, lui qui n’a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude ; lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement » (1 Pierre 2:19-23).

Tout le peuple du Seigneur a besoin d’être affermi afin de supporter patiemment les souffrances qui lui sont infligées injustement. C’était la position de Jésus. Il a passé sa vie à faire le bien. Il n’a jamais fait de mal à qui que ce soit, et cependant ses ennemis l’ont injurié et l’ont mis à mort. Ceci est l’exemple que nous sommes invités à suivre. C’est le chemin qu’il nous est proposé de suivre – suivre les traces du Maître. C’est ce que signifie vraiment être un de ses disciples.

De nombreuses églises chrétiennes enseignent qu’un enfant de Dieu sera béni avec des choses matérielles. D’une manière générale, elles proclament que le succès en affaires, un emploi sûr, une bonne santé, beaucoup d’amis dans le monde social, sont des preuves de la faveur de Dieu.

Mais ce n’était pas le point de vue de Jésus, ni le point de vue des apôtres, ni de ceux de l’église primitive qui suivirent leurs enseignements. Au contraire, souffrir en faisant le bien — faire preuve de patience sans aucune disposition à se battre — entraîne la faveur de Dieu. Notre association avec les frères devrait être telle que décrite par Pierre : « Enfin, soyez tous animés des mêmes pensées et des mêmes sentiments, pleins d’amour fraternel, de compassion, d’humilité. Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure ; bénissez, au contraire, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hériter la bénédiction » (1 Pierre 3:8,9).

Souffrir pour Christ

Puisque nous sommes ‘dans le monde’ mais que nous ne sommes pas ‘du monde’, nous nous trouvons entourés de froideur et d’opposition. Il est donc plus convenable que tous ceux qui marchent ensemble sur ce chemin étroit le fassent avec le même esprit, et qu’ils aient de la compassion les uns pour les autres.

A cause de nos imperfections charnelles, des incompréhensions peuvent surgir, mais ceux qui renoncent à leur vie pour faire le bien, et qui ne rendent pas le mal pour le mal, désireront sûrement être guidés par ce même principe chrétien dans leurs relations avec les autres. Ceux-ci réaliseront qu’avoir sa propre manière de faire n’est pas aussi important que de faire des efforts pour marcher d’un seul esprit, et être aimable avec les autres.

Pierre continue à affermir les frères en leur rappelant que Dieu ne permettra pas qu’ils soient maltraités en tant que nouvelles créatures s’ils restent sur la voie juste du sacrifice. Il écrit : « Et qui vous maltraitera, si vous êtes zélés pour le bien ? D’ailleurs, quand vous souffririez pour la justice, vous seriez heureux. N’ayez aucune crainte, et ne soyez pas troublés » (1 Pierre 3:13,14).

Nous voyons que Jésus ne fut jamais maltraité en tant que nouvelle créature. C’est vrai, il fut injurié ; ses ennemis crachèrent sur lui, et placèrent une couronne d’épines sur sa tête. Ils le clouèrent à une croix, et l’y suspendirent jusqu’à ce qu’il meure. Ils infligèrent beaucoup de souffrances au Maître, mais ils ne lui firent pas de mal en tant que nouvelle créature, car ses souffrances et sa mort le conduisirent vers la gloire, l’honneur et l’immortalité.

Il en est de même pour nous. Les souffrances qui nous sont infligées par nos ennemis peuvent nous faire du mal seulement si nous permettons à de telles expériences de remplir nos cœurs d’amertume de telle sorte que nous commencions à rendre le mal pour le mal. Il peut en résulter une satisfaction charnelle temporaire, mais si cela persiste, cela nous mènera à la perte de notre héritage avec Jésus dans la phase céleste de son royaume.

En poursuivant son message d’encouragement, Pierre écrit : « Car il vaut mieux souffrir, si telle est la volonté de Dieu, en faisant le bien qu’en faisant le mal. Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu, ayant été mis à mort quant à la chair, mais ayant été rendu vivant quant à l’Esprit » (1 Pierre 3:18,19). Avant sa conversion, Pierre n’aurait certainement pas admis qu’il était préférable de souffrir en faisant le bien qu’en faisant le mal. Il savait que Jésus avait fait le bien pendant toute sa vie, et il se rebellait à l’idée que l’on fasse souffrir et mettre à mort un tel homme.

Mais à présent Pierre connaissait le but des souffrances et de la mort de son Maître, et il savait que nous, ses disciples, avons le privilège de souffrir et mourir avec lui. Et c’est certainement une grande force pour faire face à nos épreuves que de connaître les raisons pour lesquelles nous souffrons et que telle est la volonté de Dieu à notre égard.

Comme Pierre le dit : « Ainsi donc, Christ ayant souffert dans la chair, vous aussi armez-vous de la même pensée » (1 Pierre 4:1).

Ce n’est pas étrange

En poursuivant pour affermir les frères, Pierre écrit : « Bien-aimés, ne soyez pas surpris, comme d’une chose étrange qui vous arrive, de la fournaise qui est au milieu de vous pour vous éprouver. Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l’allégresse lorsque sa gloire apparaîtra » (1 Pierre 4:12,13).

Pour Pierre, avant la Pentecôte, il était tout à fait ‘étrange’ que d’ardentes épreuves puissent arriver à Jésus, le conduisant jusqu’à la crucifixion. Mais depuis qu’il avait compris que tel était le plan de Dieu à son sujet, et que cela avait été prédit par les prophètes, il a réalisé que ce n’était pas étrange.

De la même manière, nous ne devons pas trouver étrange que d’ardentes épreuves arrivent dans notre vie, car, ainsi que Pierre l’explique, nous partageons les souffrances de Christ. Et, si nous partageons ses souffrances, et que nous les endurons courageusement et fidèlement jusqu’au bout de notre pèlerinage sur le chemin de la souffrance, nous partagerons sa gloire.

Combien notre foi devrait être renforcée lorsque nous réalisons que les épreuves qui nous arrivent et qui sont le résultat de notre fidélité au Seigneur, à la vérité, et aux frères ne sont pas dues au manque d’intérêt du Père Céleste envers nous, mais au fait qu’il dirige nos expériences pour nous préparer à être les cohéritiers avec son Fils bien-aimé dans le royaume !

L’esprit humain est enclin à dire : ‘Qu’il est étrange que cette terrible épreuve arrive dans ma vie !’. Mais Pierre dit que nous ne devrions pas raisonner de cette manière, mais plutôt nous en réjouir, pour autant que nous soyons prêts à partager les souffrances de Christ.

Adopter cette pensée requiert beaucoup de foi – une foi basée sur la compréhension de la raison pour laquelle ce chemin étroit est si difficile à suivre. Il est vrai que nous ne comprenons pas toujours en détails les raisons pour lesquelles certaines épreuves arrivent dans notre vie, mais nous savons qu’il est prévu dans le plan de Dieu que nous souffrions avec Christ, aussi laissons-en les détails entre les mains de Dieu.

Si le chemin de la croix nous semble difficile, nous avons l’assurance de la grâce divine pour nous aider à chaque fois que nous en avons besoin, et notre foi devrait nous aider à dire qu’il est préférable pour nous de marcher dans le noir avec Dieu que de marcher tout seul dans la lumière.

Pour la cause de la justice

Toutes les souffrances ne sont pas acceptables par Dieu. Parfois, nos épreuves peuvent être provoquées par nos propres imperfections qui nous conduisent à dire et à faire des choses qui sont contraires à la volonté de Dieu.

Pierre attire notre attention sur cela en disant : « Que nul de vous, en effet, ne souffre comme meurtrier, ou voleur, ou malfaiteur, ou comme s’ingérant dans les affaires d’autrui. Mais si quelqu’un souffre comme chrétien qu’il n’en ait point honte, et que plutôt il glorifie Dieu à cause de ce nom » (1 Pierre 4:15,16).

Selon le Seigneur, nous deviendrions des meurtriers si nous assassinions le caractère d’une personne en disant du mal d’elle. En donnant une mauvaise image d’autrui, nous pourrions lui ‘voler’ son nom et sa réputation. Ceux qui commettent de tels actes ont fréquemment des épreuves et des difficultés, mais ils ne peuvent se réjouir de telles expériences sous prétexte que ce sont des souffrances pour Christ.

De telles souffrances sont le résultat d’une mauvaise attitude, et elles sont honteuses pour ceux qui agissent de la sorte. Ce sont seulement ceux qui souffrent pour la cause de la justice qui peuvent être assurés de l’approbation de l’Eternel, et peuvent espérer recevoir leur héritage avec Jésus dans le royaume des cieux.

Dieu prend soin de nous

Bien que le chemin de la croix soit un chemin difficile, ses joies dépassent largement ses peines. Ces joies tiennent essentiellement à l’assurance selon laquelle notre Père Céleste nous aime et prend soin de nous.

Pierre écrit : « Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu’il vous élève au temps convenable ; et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous. Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde » (1 Pierre 5:6-9).

Nous devons nous humilier devant Dieu et accepter sans nous poser de questions les épreuves qu’il permet. Celui qui prend soin de nous ne se lasse jamais, ses yeux guettent chacun de nos besoins et son oreille est toujours à l’écoute de nos chagrins. Notre Père Céleste est infiniment capable de faire pour nous bien plus que nous ne pouvons demander ou penser, et il le fera, si nous continuons à le respecter avec humilité, en le remerciant pour toutes les bénédictions que son amour nous apporte — même dans nos épreuves.

Ces dernières sont aussi des bénédictions cachées, car elles nous permettent de nous préparer pour la gloire. Nous sommes reconnaissants que Pierre soit resté fidèle à la mission que Jésus lui avait donnée d’affermir les frères en leur donnant l’assurance que les souffrances chrétiennes étaient la volonté de Dieu à leur égard, et une preuve de la grâce divine !

« Sois fidèle jusqu’à la mort, et je te donnerai la couronne de vie » (Apocalypse 2:10).

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Association des Etudiants de la Bible