Vie chrétienne et doctrine |
La création – 4ème partie
LE PLAN DE DIEU
DANS LE LIVRE DE LA GENESE
Chapitres 8 et 9
Genèse : Chapitre 8
Versets 1 à 4
« Dieu se souvint de Noé, de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l’arche ; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’apaisèrent. Les sources de l’abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la pluie ne tomba plus du ciel. Les eaux se retirèrent de dessus la terre, s’en allant et s’éloignant, et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours. Le septième mois, le dix-septième jour du mois, l’arche s’arrêta sur les montagnes d’Ararat. »
Beaucoup a été dit dans les Ecritures pour indiquer que l’intérêt de Dieu pour le peuple de son alliance et ses soins à son égard l’ont souvent conduit à des décisions et des actions importantes. C’est parce que Dieu « se souvint d’Abraham » (Genèse 19:29) qu’il fit en sorte que Lot put s’échapper des villes de la plaine qui allaient être détruites. « Dieu se souvint de son alliance avec Abraham, Isaac et Jacob » (Exode 2:24) et délivra les Hébreux de leur esclavage en Egypte.
D’un point de vue scientifique, les eaux du déluge auraient pu sans nul doute détruire toute vie, mais Dieu honora son serviteur Noé par ce bel arc du souvenir.
Nous avons dans ces versets une très belle description « des sources de l’abîme et des écluses qui se fermèrent » suivies par le retrait graduel des eaux du déluge jusqu’à ce que l’arche s’arrête « sur les montagnes d’Ararat ». Il serait difficile d’analyser la signification exacte de ce langage et des détails qui sont cachés par ces quelques phrases.
Il est suffisant pour nous de savoir que dans le Nouveau Testament, à la fois Jésus et Pierre confirment ce récit ; et Pierre nous dit qu’avec le retrait des eaux du déluge, un nouveau monde commença, appelé par Paul « le présent monde mauvais » (Galates 1:4).
Le nom d’Ararat signifie ‘terre sainte’. Il est bon de noter que le mot ‘montagnes’ est utilisé au pluriel, et il est couramment admis qu’il s’agit d’un district montagneux d’Asie, et que c’était l’ancien nom d’une portion de l’Arménie. Dans son sens biblique il décrit les hauts plateaux de l’Arménie, qui surplombent la plaine de l’Aras au nord et la Mésopotamie au sud.
Il est probable que l’arche s’arrêta sur l’une des parties basses de la chaîne de montagnes plutôt que sur le pic élevé auquel les Européens ont donné le nom d’Ararat. Il comporte en réalité deux pics, le plus haut culminant à plus de 5180 m, l’autre environ 1200 m plus bas. Le pic le plus haut est couvert en permanence de neige sur 900 mètres à partir du sommet.
Plusieurs histoires sensationnelles et très spéculatives surgissent de temps en temps sur l’arche qui aurait été découverte, parce que congelée et conservée dans la neige ou dans la glace. Il est improbable cependant que l’arche se soit posée à une si haute altitude.
De grands changements climatiques se sont produits au temps du déluge qui laissèrent probablement les sommets recouverts de glace et de neige lorsque les eaux du déluge se retirèrent, mais si l’arche était restée sur l’un d’eux il aurait été impossible pour Noé et sa famille et pour les animaux d’en avoir échappé.
Il a été suggéré que Dieu a probablement préservé l’arche et qu’en temps utile il la montrera comme un témoignage aux incroyants. Ceci semble difficilement nécessaire en vue de son plan pour ressusciter les morts, y compris Noé et sa famille.
Un témoignage de leur part convaincrait ceux qui doivent voir pour croire ; non seulement parce qu’ils étaient présents au moment où cela est arrivé, mais parce qu’eux-mêmes seront des témoignages vivants d’un miracle bien plus grand, à savoir la résurrection des morts !
Versets 5 à 12
« Les eaux allèrent en diminuant jusqu’au dixième mois. Le dixième mois, le premier jour du mois, apparurent les sommets des montagnes. Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu’il avait faite à l’arche. Il lâcha le corbeau, qui sortit, partant et revenant, jusqu’à ce que les eaux eussent séché sur la terre. Il lâcha aussi la colombe, pour voir si les eaux avaient diminué à la surface de la terre. Mais la colombe ne trouva aucun lieu pour poser la plante de son pied, et elle revint à lui dans l’arche, car il y avait des eaux à la surface de toute la terre. Il avança la main, la prit, et la fit rentrer auprès de lui dans l’arche. Il attendit encore sept autres jours, et il lâcha de nouveau la colombe hors de l’arche. La colombe revint à lui sur le soir ; et voici, une feuille d’olivier arrachée était dans son bec. Noé connut ainsi que les eaux avaient diminué sur la terre. Il attendit encore sept autres jours ; et il lâcha la colombe. Mais elle ne revint plus à lui. »
La méthode utilisée par Noé pour déterminer, à intervalles réguliers, le niveau de baisse des eaux du déluge fut unique. Une étude approfondie de ce récit est très révélatrice.
Le verset 4 nous apprend que le 17e jour du 7e mois l’arche s’échoua, ce qui veut dire que l’eau n’était plus assez profonde sur le territoire pour la garder à flot. Mais conformément au verset 5, ce n’est que deux mois après que les sommets des montagnes furent visibles.
40 jours après, Noé envoya un corbeau qui ne revint pas, puis une colombe qui revint. Il attendit 7 autres jours et il envoya de nouveau la colombe qui revint avec un rameau d’olivier.
En d’autres termes il fallut 5 mois aux eaux pour baisser suffisamment et permettre à l’arche de se poser et 4 mois après la colombe trouva un rameau d’olivier. Cela indiquerait que l’arche ne s’est pas posée sur l’un des sommets les plus élevés connus aujourd’hui sous le nom d’Ararat, parce que la vitesse avec laquelle les eaux se retiraient n’aurait pas permis dans ce cas de laisser la terre desséchée si peu de temps après.
Versets 13,14
« L’an six cent un, le premier mois, le premier jour du mois, les eaux avaient séché sur la terre. Noé ôta la couverture de l’arche : il regarda, et voici, la surface de la terre avait séché. Le second mois, le vingt-septième jour du mois, la terre fut sèche. »
Ici aussi nous avons une évocation très précise d’une date, l’an six cent un, le premier mois, le premier jour du mois. C’est là un exemple de l’exactitude avec laquelle les renseignements chronologiques sont conservés dans la Bible. C’est sur la base de cette information sur le temps que nous avons confiance dans la chronologie biblique, une chronologie qui révèle qu’Adam et Eve furent créés il y a plus de 6000 ans.
Versets 15 à 19
« Alors Dieu parla à Noé, en disant : Sors de l’arche, toi et ta femme, tes fils et les femmes de tes fils avec toi. Fais sortir avec toi tous les animaux de toute chair qui sont avec toi, tant les oiseaux que le bétail et tous les reptiles qui rampent sur la terre : qu’ils se répandent sur la terre, qu’ils soient féconds et multiplient sur la terre. Et Noé sortit, avec ses fils, sa femme, et les femmes de ses fils. Tous les animaux, tous les reptiles, tous les oiseaux, tout ce qui se meut sur la terre, selon leurs espèces, sortirent de l’arche. »
Dans ces versets nous avons une description de la manière dont Noé et sa famille, ainsi qu’un couple de tous les animaux, furent transférés du « monde d’alors » à ce « présent siècle [ou monde] mauvais » (2 Pierre 3:6 ; Galates 1:4).
Versets 20 à 22
« Noé bâtit un autel à l’Eternel ; il prit de toutes les bêtes pures et de tous les oiseaux purs, et il offrit des holocaustes sur l’autel. L’Eternel sentit une odeur agréable, et l’Eternel dit en son cœur : Je ne maudirai plus la terre, à cause de l’homme, parce que les pensées du cœur de l’homme sont mauvaises dès sa jeunesse ; et je ne frapperai plus tout ce qui est vivant, comme je l’ai fait. Tant que la terre subsistera, les semailles et la moisson, le froid et la chaleur, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront point. »
C’est la seconde mention dans les Ecritures de serviteurs de Dieu lui offrant un sacrifice. Le premier cas fut celui d’Abel. Dieu agréa le sacrifice d’Abel, ainsi que celui de Noé. Peut-être est-ce dans ce but que Dieu commanda à Noé de prendre plus de deux animaux purs dans l’arche.
La promesse de Dieu qu’il ne maudirait plus la terre veut dire qu’il ne la maudirait pas plus. La malédiction originale n’était pas certainement pas ôtée par le déluge. Dieu promit de ne pas frapper tout ce qui est vivant.
Quant Jésus décrivit la grande détresse dans laquelle le présent monde mauvais doit finir, il dit que ces jours seront limités pour éviter la destruction de toute chair (Matthieu 24:21,22).
« Tant que la terre subsistera… », une autre traduction nous assure que « la terre durera à toujours » et que Dieu « ne la créa pas en vain » mais « qu’il la forma pour être habitée » (Ecclésiaste 1:4 ; Esaïe 45:18). La promesse de Dieu de garder la vie humaine sur la terre est donnée dans ce passage, bien que la pensée du cœur de l’homme le pousse toujours vers le mal.
Dieu aime ses créatures humaines et a fait des projets pour elles par l’œuvre rédemptrice de Christ pour vivre éternellement sur terre si elles sont obéissantes, mais dans un monde à venir « où régnera la justice » (2 Pierre 3:13).
Genèse : Chapitre 9
Verset 1
« Dieu bénit Noé et ses fils, et leur dit : Soyez féconds, multipliez, et remplissez la terre. »
Noé et sa famille avaient démontré leur foi en Dieu par leur obéissance en lui et à présent les bénédictions de Dieu étaient sur eux et par elles un nouveau monde était établi.
Dieu commanda à Noé et à ses fils d’être féconds, de multiplier et de remplir la terre. Cette demande est très semblable à celle donnée à Adam au commencement du « monde d’alors », lequel prit fin au moment du déluge.
Comme ce monde devint mauvais et fut détruit, ainsi le monde commençant avec Noé et sa famille devint aussi corrompu et fut désigné par l’Apôtre Paul comme « le présent siècle mauvais » (Galates 1:4).
Ce monde est en train de prendre fin dans « un temps de détresse, tel qu’il n’y en a pas eu depuis que les nations existent » (Daniel 12:1).
Verset 2
« Vous serez un sujet de crainte et d’effroi pour tout animal de la terre, pour tout oiseau du ciel, pour tout ce qui se meut sur la terre, et pour tous les poissons de la mer : ils sont livrés entre vos mains. »
Quand Dieu créa l’homme, il lui donna la domination sur tous les animaux et cette domination fut exercée d’une manière pacifique sans que les animaux en ressentent de la peur.
Ainsi les animaux furent conduits à Adam pour recevoir des noms, ce qui indique qu’ils lui obéissaient. Quelle différence avec le passage : « Vous serez un sujet de crainte et d’effroi pour tout animal de la terre » !
La raison de ce changement est le fait que l’homme avait perdu sa perfection et qu’il contrôlait à présent le monde animal seulement grâce à la crainte qu’il inspirait.
Verset 3
« Tout ce qui se meut et qui a vie vous servira de nourriture : je vous donne tout cela comme l’herbe verte. »
C’est sans doute une autre raison pour laquelle les animaux, à partir de ce moment, allaient avoir peur de l’homme, parce qu’ils allaient lui servir de nourriture.
Ce texte indique que la viande n’était pas consommée avant le déluge. Les herbes des champs avaient servi de nourriture à l’homme, mais à présent le Seigneur lui donnait également la viande comme nourriture.
Versets 4 à 7
« Seulement, vous ne mangerez point de chair avec son âme, avec son sang. Sachez-le aussi, je redemanderai le sang de vos âmes, je le redemanderai à tout animal ; et je redemanderai l’âme de l’homme à l’homme, à l’homme qui est son frère. Si quelqu’un verse le sang de l’homme, par l’homme son sang sera versé ; car Dieu a fait l’homme à son image. Et vous, soyez féconds et multipliez, répandez-vous sur la terre et multipliez sur elle. »
Ces versets expriment l’un des signes les plus anciens des Ecritures concernant l’importance du sang dans le dessein de Dieu pour l’homme. « La vie de la chair est dans le sang » (Lévitique 17:11) et c’est pour cela que le Seigneur insiste en disant « car sans effusion de sang il n’y a pas de pardon » du péché (Hébreux 9:22).
Quand les Ecritures parlent de Jésus versant son sang pour la vie de l’humanité, la pensée est qu’il donna sa vie, qu’il « s’est livré lui-même à la mort » (Esaïe 53:12).
Versets 8 à 17
« Dieu parla encore à Noé et à ses fils avec lui, en disant : Voici, j’établis mon alliance avec vous et avec votre postérité après vous ; avec tous les êtres vivants qui sont avec vous, tant les oiseaux que le bétail et tous les animaux de la terre, soit avec tous ceux qui sont sortis de l’arche, soit avec tous les animaux de la terre. J’établis mon alliance avec vous : aucune chair ne sera plus exterminée par les eaux du déluge, et il n’y aura plus de déluge pour détruire la terre. Et Dieu dit : C’est ici le signe de l’alliance que j’établis entre moi et vous, et tous les êtres vivants qui sont avec vous, pour les générations à toujours : J’ai placé mon arc dans la nue, et il servira de signe d’alliance entre moi et la terre. Quand j’aurai rassemblé des nuages au-dessus de la terre, l’arc paraîtra dans la nue ; et je me souviendrai de mon alliance entre moi et vous, et tous les êtres vivants, de toute chair, et les eaux ne deviendront plus un déluge pour détruire toute chair. L’arc sera dans la nue ; et je le regarderai, pour me souvenir de l’alliance perpétuelle entre Dieu et tous les êtres vivants, de toute chair qui est sur la terre. Et Dieu dit à Noé : Tel est le signe de l’alliance que j’établis entre moi et toute chair qui est sur la terre. »
Le mot ‘alliance’ est utilisé 7 fois dans ces versets, montrant la grande importance que Dieu attacha à la promesse de ne plus détruire toute chair par un déluge d’eau.
En accord avec les Ecritures, toute chair ne sera pas non plus détruite par aucun autre moyen. Même dans le grand « temps de détresse » qui précipite le « présent siècle mauvais » vers sa fin, nous avons la promesse du Seigneur qu’il abrégera ce temps avant que toute chair ne soit détruite (Matthieu 24:22).
C’est là une autre preuve que la fin prophétique du monde n’est pas la destruction de la terre, mais plutôt la fin d’un ordre de choses existant sur la terre : « La terre durera à jamais » et servira de demeure éternelle à l’homme (Ecclésiaste 1:4 ; Esaïe 45:18 ; Psaume 115:16).
C’est aussi la première mention d’arc-en-ciel dans les Ecritures. Aucun arc-en-ciel n’était apparu avant le déluge à cause des conditions atmosphériques inhabituelles qui prévalaient.
Il n’avait pas plu, nous disent les Ecritures, mais au lieu de cela une vapeur humidifiait la terre (Genèse 2:5-5). Ceci indique que des nuages denses surplombaient la terre continuellement, empêchant la formation d’un arc-en-ciel.
La précipitation soudaine des « eaux au-dessus du firmament » causa non seulement le déluge, mais clarifia également l’atmosphère, rendant possible la vision d’un arc-en-ciel.
Ce dernier était donc une évidence que la couche dense de vapeur qui encerclait auparavant la terre n’existait plus.
C’était donc une preuve qu’un anneau d’eau ne pouvait plus constituer un second déluge pour détruire toute chair.
Versets 18 et 19
« Les fils de Noé, qui sortirent de l’arche, étaient Sem, Cham et Japhet. Cham fut le père de Canaan. Ce sont là les trois fils de Noé, et c’est leur postérité qui peupla toute la terre. »
Presque tous les noms utilisés dans la Bible ont une signification particulière qui leur est attachée ; Sem veut dire ‘nom’, Cham veut dire ‘chaud’ ou ‘brûlé par le soleil’, tandis que Japhet signifie ‘agrandissement’. Les chapitres suivants indiquent les différentes portions de la terre occupée par les descendants des trois fils de Noé.
Versets 20 à 27
« Noé commença à cultiver la terre, et planta de la vigne. Il but du vin, s’enivra, et se découvrit au milieu de sa tente. Cham, père de Canaan, vit la nudité de son père, et il le rapporta dehors à ses deux frères. Alors Sem et Japhet prirent le manteau, le mirent sur leurs épaules, marchèrent à reculons, et couvrirent la nudité de leur père ; comme leur visage était détourné, ils ne virent point la nudité de leur père. Lorsque Noé se réveilla de son vin, il apprit ce que lui avait fait son fils cadet. Et il dit : Maudit soit Canaan ! qu’il soit l’esclave des esclaves de ses frères ! Il dit encore : Béni soit l’Eternel, Dieu de Sem, et que Canaan soit leur esclave ! Que Dieu étende les possessions de Japhet, qu’il habite dans les tentes de Sem, et que Canaan soit leur esclave ! »
Une des raisons qui font qu’on peut faire confiance en la Bible est sa franchise dans le récit des faits historiques, même si ceux-ci ne sont pas à l’honneur des personnes décrites.
Elle nous dit que « Noé marcha avec Dieu » (Genèse 6:9) mais n’hésite pas à nous décrire son ivresse du vin produit par sa propre vigne.
C’est la première fois que du vin est mentionné dans la Bible. C’est dû au fait qu’avant le déluge les conditions atmosphériques entourant la terre ne permettaient pas la fermentation ; ceci explique que Noé ait pu s’enivrer, par manque d’expérience.
Si le jus de fruit ne fermentait pas avant le déluge, Noé ne pouvait être blâmé pour n’avoir pas réalisé quel effet le vin fermenté aurait sur lui.
Apparemment, cette explication est fournie dans le récit parce que Cham est chargé d’une malédiction. Nous ne pouvons déterminer avec certitude la nature de cette malédiction, excepté le fait qu’elle incluait la servitude.
Versets 28 et 29
« Noé vécut, après le déluge, trois cent cinquante ans. Tous les jours de Noé furent de neuf cent cinquante ans ; puis il mourut. »
Noé vécut 20 ans de plus qu’Adam, qui mourut à l’âge de 930 ans. Methuschélah fut le plus vieux des patriarches, ayant atteint l’âge d’une grande maturité de 969 ans.
La moyenne de vie de l’homme diminua rapidement après le déluge. Le changement des conditions atmosphériques doit y être pour beaucoup.
Il y eut aussi le fait que chaque nouvelle génération s’éloignait d’avantage de la perfection originale. Plus tard l’espérance de vie de l’homme fut déclarée être de « soixante dix ans » (Psaume 90:10).
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(à suivre…)