La Bible – 8ème partie

Les Actes des Apôtres

Le nom complet du cinquième livre du Nouveau Testament est « Les Actes des Apôtres », bien qu’appelé généralement le « Livre des Actes » ou « Les Actes ». Comme ce nom l’indique, il s’agit en grande partie d’une chronique des activités où les apôtres de Christ ont joué une part active.

Comme dans les quatre Evangiles, les Actes ont un caractère fondamentalement historique auquel se mêlent les récits d’événements de l’Eglise Primitive, où l’on trouve des leçons de doctrines et de louanges les plus importantes de la Bible.

Ce livre fut écrit par Luc, qui décrivit « …tout ce que Jésus a commencé de faire et d’enseigner dès le commencement jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel, après avoir donné ses ordres, par le Saint-Esprit, aux apôtres qu’il avait choisis » (Actes 1:1-2). Le chapitre d’ouverture des Actes est une transition entre la vie de Christ et celle des apôtres, car il relate la dernière rencontre entre Jésus et eux, ainsi que ses ordres concernant le service qu’ils devaient rendre en son nom après qu’il les eut quittés (versets 4-11).

Au verset 8 du premier chapitre, Jésus promet que le Saint Esprit viendrait sur les apôtres, et ceci avec le pouvoir et l’autorité de l’Esprit dont ils furent les « témoins … à Jérusalem, et dans toute la Judée, la Samarie et dans toutes les parties de la terre ».

Le second chapitre évoque l’accomplissement de la promesse faite par Jésus d’envoyer le Saint Esprit. Dans certaines traductions étrangères, d’autres mots sont employés à tort pour désigner le Saint Esprit, pouvant laisser croire qu’il s’agit d’une personne, ce qui est contraire aux enseignements de la Bible. Le Saint Esprit est simplement la sainte puissance ou influence de Dieu, envoyée pour accomplir ses desseins, quels qu’ils soient.

Cet envoi du Saint Esprit vint sur les disciples, en situation d’attente à Jérusalem, d’une manière miraculeuse pour établir leur foi et leur confiance en Jésus comme étant le Messie. Ils les avaient quittés, et même s’ils avaient été convaincus de sa résurrection des morts, il leur aurait été difficile de se le représenter. sans la preuve définitive de son retour dans les parvis célestes et ceci en accomplissement de sa promesse qu’il allait envoyer le Saint Esprit pour reposer sur eux.

Cette merveilleuse expérience arriva ‘le jour de la Pentecôte’ (Actes 2:1). La Pentecôte était l’une des fêtes spéciales, un jour de rassemblement des Juifs, et beaucoup d’entre eux visitaient Jérusalem chaque année en cette occasion. Cela implique qu’il y avait dans la ville des Israélites de différents pays, parlant la langue des pays où ils habitaient.

Cela fournit une merveilleuse occasion au Seigneur de montrer que sa faveur était à présent sur les disciples, en leur faisant don d’une puissance miraculeuse leur permettant de parler aux autres dans les langues de leurs différents pays. Ainsi, l’une des manifestations du Saint Esprit en ce temps-là fut pour eux de ‘parler en langues’ (Actes 10:44-48). Ce fut une démonstration pleine de bon sens de la puissance divine, un témoignage aux descendants naturels d’Abraham que Jésus était le Messie.

Les ennemis de Jésus s’opposaient à présent à ses disciples et les accusaient d’être ivres. L’Apôtre Pierre réfuta rapidement et énergiquement cette accusation, et dans l’un des sermons les plus éloquents qu’il ait jamais prêché, il expliqua à son auditoire la véritable signification ce qui était arrivé.

Il établit la réalité de la résurrection de Jésus des morts et montra que c’était l’accomplissement de Psaume 16:10, où Jésus est prophétiquement représenté comme disant à Dieu : « Car tu n’abandonneras pas mon âme dans le séjour des morts, et tu ne permettras pas que ton Saint voie la corruption » (Actes 2:27).

Le récit dit que les auditeurs furent « eurent le cœur vivement touché » par le discours de Pierre, surtout par la manière franche dont il accusa la nation d’avoir crucifié Jésus. Ils lui demandèrent ce qu’ils pouvaient faire en de pareilles circonstances, et il les appela à la repentance et à se faire baptiser « au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés et pour recevoir le don du Saint Esprit » (Actes 2:36-38).

Trois milles personnes répondirent au message de Pierre ce jour-là et furent baptisées au nom de Jésus-Christ.

« Des temps de rafraîchissement »

Le troisième chapitre rapporte un autre merveilleux sermon de Pierre, prêché peu de temps après la Pentecôte.

Le contenu est différent de celui qu’il prêcha lors de son discours de la Pentecôte. Pierre, accompagné de Jean, était monté au temple pour l’heure de la prière. A la porte du temple appelée ‘la belle’, il vit un homme infirme depuis sa naissance. Pierre guérit l’homme au nom de Jésus, lui rendit l’usage de ses jambes, au point même que celui-ci ‘bondit’ (versets 1-8).

La foule était curieuse et Pierre profita de l’occasion pour leur expliquer que ce miracle avait été fait au nom et par le pouvoir de Christ ressuscité, celui qu’ils avaient crucifié. Puis il ajouta « Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, et qu’il envoie celui qui vous a été destiné, Jésus-Christ, que le ciel doit recevoir jusqu’aux temps du rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses saints prophètes » (Actes 3:19-21).

Ici la leçon est claire, basée sur le miracle de la guérison de l’homme infirme. Pierre dit en effet qu’après la seconde venue de Christ, des miracles de cette sorte deviendront universels, qu’il y aura des temps de ‘rétablissement’ de toutes choses. Puis il ajouta que ce glorieux évangile, ou bonne nouvelle, avait été exprimé par la bouche de tous les saints prophètes de Dieu.

Nous avons ici un des textes-clés qui nous aide à comprendre tout le plan de Dieu. Dans notre bref examen des différents livres de la Bible jusqu’à présent, nous avons fréquemment attiré l’attention sur le thème de la rédemption et du rétablissement, ce que confirme ici Pierre, car dans ce sermon remarquable il nous dit que ‘le temps de rafraîchissement’ a été le thème de tous les saints prophètes de Dieu.

La persécution

Jésus avait dit à ses disciples « Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, j’ai vaincu le monde » (Jean 16:33).

Les Apôtres, ainsi que les autres disciples de l’Eglise primitive eurent à souffrir de cette persécution. Les Juifs incroyants comme les Gentils leur furent d’abord hostiles, puis par différents agissements, l’intimidation et l’emprisonnement, essayèrent de réduire et si possible de détruire leur œuvre. On en trouve un exemple dans le chapitre 4 des Actes.

Beaucoup ont entendu parler de Ananias et Saphira, sa femme, qui ont détourné à leur profit les règles bibliques. Le chapitre 5 des Actes relate les circonstances où leur mensonge fut révélé publiquement par l’Apôtre Pierre et où ils furent mis à mort instantanément.

Le chapitre 7 présente le discours qu’Etienne, le premier martyr chrétien, délivra devant le Sanhédrin juif où il fut appelé pour se défendre contre les accusations de ses ennemis juifs. Saul de Tarse était alors un membre du Sanhédrin et il approuva la mort d’Etienne; il assista à sa lapidation en gardant les habits de ceux qui lapidèrent ce jeune diacre à mort.

Saul de Tarse fut plus tard converti au Christianisme. Les versets 1 et 2 du chapitre 9 nous informent que « Cependant Saul, respirant encore la menace et le meurtre contre les disciples du Seigneur, se rendit chez le souverain sacrificateur, et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas, afin que, s’il trouvait des partisans de la nouvelle doctrine, hommes ou femmes, il les amenât liés à Jérusalem ».

Revêtu de cette autorité, Saul s’en alla vers Damas quand « tout à coup une lumière venant du ciel resplendit autour de lui. Il tomba par terre, et il entendit une voix qui lui disait : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? Il répondit : Qui es-tu, Seigneur ? Et le Seigneur dit : Je suis Jésus que tu persécutes » (versets 3-5).

Paul fut prompt à discerner qu’en persécutant les disciples de Christ il s’opposait en réalité à Dieu, car cette expérience lui révélait de fait que Jésus était le Messie promis.

En réponse à sa question « Que veux-tu que je fasse ? », Paul reçut l’ordre d’aller dans une certaine maison à Damas, pour y attendre des instructions (Actes 9:6).

D’ennemi acharné de l’Eglise qu’il était, Saul, qui fut ensuite connu sous le nom de Paul, devint un disciple enthousiaste du Maître, et consacra sa vie au service du Seigneur et de l’Evangile de Christ. Par arrangement divin, il devint l’un de ses Apôtres dont la mission fut dirigée tout particulièrement vers les Gentils.

Plusieurs chapitres du livre des Actes sont utilisés pour relater les expériences intéressantes et souvent éprouvantes de Paul quand il voyagea de place en place pour le ministère de l’Evangile. Il fut persécuté de cruelles manières.

L’un de ses voyages avait Jérusalem comme destination, et il fut instruit par le Saint Esprit que les chaînes et l’emprisonnement l’y attendaient, aussi les frères essayèrent de le dissuader de s’exposer personnellement à ce danger.

Dans la réponse de Paul, l’on voit son merveilleux esprit de dévotion au Seigneur « Que faites-vous, en pleurant et en me brisant le cœur ? Je suis prêt, non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus » (Actes 21:13).

Lors de l’un de ses voyages missionnaires, Paul visita Athènes, et fut emmené par les docteurs et philosophes à l’Aréopage, la cour suprême d’Athènes sur la colline de Mars. Il fut accusé d’introduire un nouveau dieu. Paul récusa les accusations, et faisant face à son auditoire sur cette colline, il y avait plus bas et à sa gauche une vallée où se dressaient de nombreuses idoles dédiées à des dieux, au nombre desquels se trouvait le ‘dieu inconnu’.

A sa droite au-dessus de lui se trouvait un imposant temple païen, connu aujourd’hui sous le nom d’Acropole. Paul attira alors l’attention de ses auditeurs sur leur idole dédiée au ‘dieu inconnu’ et dit « Ce que vous révérez sans le connaître, c’est ce que je vous annonce » (Actes 17:23).

Puis il continua : « Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans des temples faits de main d’homme ; il n’est point servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses.

Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure ; il a voulu qu’ils cherchent le Seigneur, et qu’ils s’efforçent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être.

C’est ce qu’ont dit aussi quelques-uns de vos poètes : De lui nous sommes la race… Ainsi donc, étant la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l’or, à de l’argent, ou à de la pierre, sculptés par l’art et l’industrie de l’homme » (Actes 17:24-29).

Puis, se référant au manque de connaissance du vrai Dieu de la part des Athéniens, Paul continua : « Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir, parce qu’il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l’homme qu’il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts » (Actes 17:30-31).

Il est remarquable que Paul utilise le mot ‘preuve certaine’ en se référant au Jour du Jugement à venir. Cela nous indique que le Jour du Jugement doit bénir l’humanité. Si c’était un jour de calamité, il aurait été une source de joie si Paul avait dit que ce jour… ne viendrait pas.

Mais quand nous examinons le grand plan de Dieu décrit dans la Bible, nous trouvons que le Jour du Jugement durera 1000 ans et que ce sera un temps où toute l’humanité recevra une connaissance exacte de Dieu, de ses lois et aura une opportunité de lui obéir et de vivre

Juifs et Gentils

Le livre des Actes nous décrit également la situation difficile apparue dans l’Eglise primitive quand les Gentils commencèrent à accepter Christ et à se mêler aux croyants juifs.

Quand initialement Jésus envoya ses disciples en mission, il leur recommanda de ne pas aller vers les Gentils (Matthieu 10:5). Juste avant son ascension, il élargit cette restriction en leur disant qu’ils devaient aller partout de par le monde (Actes 1:8). Mais les apôtres, surtout Pierre, trouvèrent difficile de se résigner à cet élargissement.

Corneille fut le premier Gentil converti, le Seigneur lui dispensant une grâce spéciale, manifestée dans une vision à Corneille et une autre à Pierre, pour les faire se rencontrer afin que l’apôtre puisse présenter le message de l’Evangile à ce Gentil intéressé. Cette information est relatée au chapitre 10. C’est l’une des plus intéressantes racontées dans la Bible.

Pierre s’endormit sur le toit de Simon le tanneur. Il eut un rêve où il vit un ‘drap’, appelé également un panier, descendu du ciel, rempli de toutes sortes de ‘quadrupèdes de la terre, de bêtes sauvages, de reptiles, et d’oiseaux du ciel’. Il lui fut demandé de ‘se lever, de tuer et de manger’ (Actes 10:11-13).

Pierre reconnut que ces animaux étaient impurs d’après la loi. Aussi il refusa d’obéir. Mais le Seigneur lui dit « Ce que Dieu a déclaré pur, ne le regarde pas comme souillé » (Actes 10:14-15). Plus tard, quand par la providence du Seigneur Pierre fut introduit dans la maison du Gentil Corneille, et que celui-ci et sa maison aient accepté Christ, la signification de ce rêve lui devint manifeste.

Pierre réalisa que Dieu venait de lui montrer que les Gentils, autrefois considérés comme exclus de la faveur divine, devaient maintenant y être acceptés. Commentant ses impressions, Pierre dit : « En vérité, je reconnais que Dieu ne fait point acception de personnes, mais qu’en toute nation celui qui le craint et qui pratique la justice lui est agréable. » (Actes 10:34-35)

Cette expérience, pour merveilleuse qu’elle fut, ne fut pas décisive pour l’Eglise toute entière. Plus tard, une conférence de croyants se tint à Jérusalem où le principal sujet de discussion fut les croyants Gentils et la manière de les intégrer dans les groupes locaux où les Juifs prédominaient en ce temps-là.

Pierre assista à cette conférence et témoigna de son expérience en relation avec la conversion de Corneille. Paul y assista également et certifia que de nombreuses conversions de Gentils avaient eu lieu. Jacques, qui était apparemment le président de cette conférence, conclut les débats par les paroles : « Hommes frères, écoutez-moi ! Simon (c’est-à-dire Pierre) a raconté comment Dieu a d’abord jeté les regards sur les nations (se référant à sa visite à Corneille) pour choisir du milieu d’elles un peuple qui portât son nom.

Et avec cela s’accordent les paroles des prophètes, selon qu’il est écrit: Après cela, je reviendrai, et je relèverai de sa chute la tente de David, j’en réparerai les ruines, et je la redresserai, afin que le reste des hommes cherche le Seigneur, ainsi que toutes les nations sur lesquelles mon nom est invoqué, dit le Seigneur, qui fait ces choses, et à qui elles sont connues de toute éternité » (Actes 15:14-18).

Voilà une présentation très parlante de cette séquence du plan divin. La ‘tente de David’ est la maison régnante de David. Elle fut détrônée en 606 avant JC. Les disciples pensaient qu’elle serait restaurée par Christ, mais jusqu’à ce moment ils n’avaient pas une idée claire du moment où cette prophétie s’accomplirait.

La dernière fois qu’ils virent Jésus, ils lui demandèrent : « Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d’Israël? Il leur répondit: Ce n’est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité. » (Actes 1:6-7)

Mais la vision des apôtres était à présent claire et lors de cette conférence Jacques discerna que la tente de David ne serait pas réparée avant qu’un ‘peuple qui porte son nom’ n’ait été rassemblé parmi les Gentils. Cette expression ‘peuple qui porte son nom’ identifie ceux qui sont appelés comme membres de la famille divine. Tout d’abord le ‘haut appel’ fut réservé aux Juifs, puis il fut étendu aux Gentils. (Philippiens 3:14)

Quand ce travail de sélection en ce monde de ceux qui seront cohéritiers avec Jésus sera complet, alors interviendra la reconstruction de la tente, ou maison de David par Christ et son Eglise.

Puis, comme le déclare Jacques, il sera donné l’opportunité à toutes les nations de recevoir les bénédictions du royaume, aussi bien qu’aux Juifs. Ce sera le travail de l’âge millénaire.

Pas de dénominations

Comme le livre des Actes raconte l’établissement de l’Eglise, commençant avec l’effusion du Saint Esprit à la Pentecôte, et sous la direction des apôtres inspirés, il est aussi intéressant de noter certaines choses… qui ne se sont pas passées. Par exemple, il n’y eut pas de construction d’édifices coûteux pour y faire des services religieux ; rien n’indique que même une simple maison de réunion ait été construite sous la direction des apôtres.

Plusieurs références sont faites à ‘l’église’ qui se réunissait dans la maison de tel ou tel croyant. Sans doute certaines congrégations comme celle de Jérusalem furent trop grandes pour se réunir dans les maisons et des salles de réunions de différents types furent utilisées. Pour autant que l’histoire des Actes nous le relate, ces premiers croyants ne jugèrent pas utile de construire des maisons de réunion.

Un autre fait intéressant est qu’il n’y a visiblement pas de nom de dénomination qui ait été utilisé. On nous informe que les croyants furent appelés Chrétiens pour la première fois à Antioche (Actes 11:26). Ce nom est utilisé seulement deux fois dans le livre des Actes et une autre fois dans une Epître de Pierre (Actes 26:28 et 1 Pierre 4:16). Le mot église est presque le seul nom attaché aux croyants : l’église de Dieu, l’église de Christ, l’église de Jérusalem, d’Ephèse, de Rome, de la maison d’Aquillas et d’autres.

Quelle évolution à partir de cette simplicité a été constatée parmi les Chrétiens depuis ces premiers jours ! Ne serait-il pas raisonnable pour tous ceux qui cherchent ‘les anciens sentiers’ (Jérémie 6:16) de retourner à ces simples règles et coutumes ? Nous pensons que de riches bénédictions spirituelles attendent ceux qui ont le courage de le faire.

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Association des Etudiants de la Bible